Poème 'Boulevard Haussmann' de Automnale

Boulevard Haussmann

Automnale

Boulevard Haussman – il est près de minuit
Et du ciel noir émane un aura de pluie

Un halo pâle et clair embrasse la lune
L’astre Fille est pleine gouvernant l’azur

Sa candeur éclaire bien des amoureux
Voile blanc menant mon âme jusqu’aux cieux

Là je t’y retrouve, m’y attendras-tu?
Dis-je non sûre de bien t’y avoir vu

Le regard rieur la lune sourit ; c’est
De ma candeur dont doucement elle rit

Fronçant les sourcils je guette ton regard
Ainsi je l’attends ne viendra-t-il que tard

Je l’attendrais là pour une éternité
C’est tes yeux qu’en la lune je crois guetter

Mais se moquant de moi la lune soupire
Riant ton regard me fait presque mourir

Et je reste ainsi là seule et éblouie
Boulevard Haussman – peu après minuit

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Automnale

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Présentation : Poétesse optimiste, rêveuse et errante.

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