Poème 'A Val Constantine' de Jacques PREVEL dans 'Poèmes pour toute mémoire'

A Val Constantine

Jacques PREVEL
Recueil : "Poèmes pour toute mémoire"

Chemins de passe hôpital et linceul
Exil décapitant sa tête
Ses paroles étaient d’un enfant
Ses larmes étaient d’un enfant
Je ne sais plus pourquoi l’eau coule torrentielle
L’eau coule et ses yeux sont noyés
L’amour et la misère le rêve et l’indifférence
Car la haine est sans limite
Et l’abandon sans limite
Et ses larmes étaient d’un enfant.

19 Février 1946

Poème préféré des membres

guillaumePrevel a ajouté ce poème parmi ses favoris.

Commentaires

Aucun commentaire

Rédiger un commentaire

© 2024 Un Jour Un Poème - Tous droits réservés
UnJourUnPoeme sur Facebook UnJourUnPoeme sur Twitter RSS