Poème 'L’ondine' de ATOS

L’ondine

ATOS

Les parfums ont le goût de nos instincts.
Ils gardent les lins moites de nos nuits
dans l’haleine vive du matin.

Qu’une goutte de l’ondine vienne frapper à l horizon
et tendres captifs, alors, nous la suivons.

Parfum, dans l’ extase de ta chasse
Je sens qu’en toi, résine,
se rompt l’étrange chrysalide.

A ta chair ruisselle ma soumission
lorsqu’à ton miel respire ma passion.

La raison ôte ses parfums
devant un corps d’opaline.

A l’adresse de notre nature,
une odeur nous respire.

Parfum, nous t’inspirons
dans les jardins que nous froissons.

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Commentaires

  1. encore toi tu me les brises menus mais vraiment menus! des "vers" de miirliton pas plus épais qu'un pet !
    encore une fois va te faire FOOT+ carton rouge ! bois plutôt un coup de rouge ça te passera ton envie de chier des "vers"!!!

  2. A part ça Ondine
    Quand est-ce qu'on dîne ?

  3. A part cela l'Ondine
    Quand est-ce que l'on dîne ?
    ................................................

    (La suite dans mon Oeuvre poétique incomplète 1973-2024 - Copyright 2024)

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