Poème 'L’Aube et l’Aurore' de guillaumePrevel

L’Aube et l’Aurore

guillaumePrevel

Souvent je fais ce rêve étrange et mystérieux,
D’une femme sublime assise au fond d’un parc ombragé,
Dont la singuralité pâle éclaire une noire chevelure arrangée
A l’antique, et qu’un regard subtil et impérieux

Me transperce l’âme par son caractère mystique et envoûtant.
Puis, alors que les premières lueurs du jour naissent
Et percent la nuit à la noirceur qui blesse,
Une autre splendeur blême aux cheveux flamboyants

S’avance et rejoint la belle inconnue à la crinière de jais,
En souriant avec douceur et en s’annonçant être l’Aurore.
Alors, l’Aube la quitte devançant les rayons d’or

Et s’évanouit dans le petit matin à la brume persistante,
Tandis que l’Aurore la remplace sur le banc ouvragé,
En attendant le lever du soleil à la chaleur triomphante.

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