Poème 'L’abeille' de guillaumePrevel

L’abeille

guillaumePrevel

Sur le reposoir de son aréole
Là où mes lèvres assoiffées goûtent à l’or
Et où souvent épuisé je m’endors
Sous le souffle léger de sa poitrine folle

Je butine
Au plaisir délicat
D’un délicieux repas
Où le pistil se mélange à l’étamine

Car pour moi toujours
Les pétales de son corps
Acceptent les ébats les efforts

Où mon cœur esclave
De l’amour
S’abandonne jusqu’au petit jour.


13 SEPTEMBRE 2017

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