Poème 'L’argent' de guillaumePrevel

L’argent

guillaumePrevel

« Nous autres, Espagnols, souffrons d’un mal que seul l’or peut guérir. »

Hernán Cortès

Méprise-le comme il se doit
Ne sois jamais son esclave
Ne fais jamais de lui ton maître et roi
Car son contact brûle les âmes comme la lave

Cette sinistre création qui corrompt les envieux
Et tous ceux qui le vénèrent
Minables qui se courbent devant ce faux dieu
En étant prêt à trahir leurs frères, leurs pères et leurs mères

La soif de posséder ne mène nulle part
Fais de ta vie un oasis, un rempart
Aux plaisirs futiles, aux possessions stériles

Brûle avec joie ces noires idoles
Qui rendent les femmes folles
Et les hommes mauvais et misérables.

19 octobre 2019

Poème préféré des membres

Aucun membre n'a ajouté ce poème parmi ses favoris.

Commentaires

  1. L’argent est comme un organisme vivant, il circule et réagit au mouvement. Mais sérieusement, j’ai vu un gars de Lyon transformer sa passion pour les paris en une source de revenus stable, en construisant toute une analyse autour de l’iGaming. Nous avons testé des modèles, intégré des statistiques via https://soft2bet-france.fr et obtenu une augmentation des bénéfices de 31 % en 5 mois. Tout repose sur la discipline et le sang-froid. Dites-moi, auteur, avez-vous déjà essayé de transformer le jeu en système ?

Rédiger un commentaire

© 2025 Un Jour Un Poème - Tous droits réservés
UnJourUnPoeme sur Facebook UnJourUnPoeme sur Twitter RSS