Poème 'La Rose à voix de soprano' de Robert DESNOS dans 'Destinée arbitraire'

La Rose à voix de soprano

Robert DESNOS
Recueil : "Destinée arbitraire"

La rose à voix de soprano
joue la nuit du piano
Cela charme les monts et la plaine
le Rhin, la Loire et la Seine
et les fées et les sirènes
dans leurs palais de roseaux

La rose à voix de soprano
est connue même à Concarno
à Fosse-Repose et à Locarno
Et dans les faubourgs de Kovno
Et sur les plages de Bornéo
Et dans tous les châteaux à créneaux.

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Commentaires

  1. Très belle poésie mais il y a trop de mots difficile .

  2. La rose a voix de soprano elle est belle la poésie mes beaucoup de mots difficile

  3. Trop facile cette poésie c pour mon école elle et très facile aucun mot difficile et sa j'adore en plus elle n'est pas long du tout je l'aime assez bien cette poésie de Robert Desnos .

  4. La poésie et longue et difficile à la maison et le plus beau jour où il a été arrêté la musique la vie est un des meilleurs joueurs du club des pays du sud du Québec à Montréal le monde les gens de la vie est un des meilleurs joueurs du club des gens de la famille et les gens de ma mère qui a été arrêté la famille et les autres pays européens

  5. Trop facile la poésie de rober desnos niquer vos grand mére

  6. Roseau qui chante
    --------

    Je taille les roseaux
    Pour en faire ma flûte ;
    Longtemps je les affûte
    Et soigne leurs biseaux.

    Chantant pour les oiseaux,
    Dryades, vous leur plûtes ;
    Ensuite, vous leur lûtes
    Un bel arioso.

    Je n’ai rien d’autre à dire ;
    Je vais ranger ma lyre
    Car le silence est d’or.

    Dans une autre aventure
    J’ai perdu ma ceinture ;
    Je n’en dis rien, je dors.

  7. Tortue qui chante
    --------------------

    Je divertis le tavernier
    Avec quelques couplets débiles ;
    La belle tavernière Odile
    Les a transcrits sur le papier.

    Les buveurs me sont familiers,
    Dont les âmes sont peu subtiles ;
    Le plus fidèle, c’est Achille
    Qui du comptoir est le pilier.

    Ils ignorent le goût de l’eau
    Mais savent celui de la bière ;
    Odile leur en verse à flots.

    Pas de télé, pas de rugby,
    Quelques chansons dans la lumière ;
    Que du banal, rien de zarbi.

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