Poème (1897-1982)
Sa biographie
Louis Aragon est un poète, romancier, journaliste et essayiste français, né le 3 octobre 1897 à Neuilly-sur-Seine et mort le 24 décembre 1982 à Paris. Il est également connu pour son engagement et son soutien au Parti communiste français de 1930 jusqu’à sa mort. Avec André Breton, Paul Éluard, Philippe Soupault, il fut l’un des animateurs du dadaïsme parisien et du surréalisme. À partir de la fin des années 1950, nombre de ses poèmes ont été mis en musique et chantés (Jean Ferrat, Léo Ferré, etc.), contribuant à faire connaître son Å“uvre poétique. La première chanson tirée d’une Å“uvre d’Aragon date de 1953 : elle est composée et chantée par Georges Brassens et a pour paroles le poème paru dans « La Diane française » en 1944 : « Il n’y a pas d’amour heureux ».
Fils naturel de Louis Andrieux (préfet de police, ancien sénateur de Forcalquier) et de Marguerite Toucas, en 1924, il fut, après avoir participé au dadaïsme, l’un des créateurs du mouvement surréaliste avec André Breton, Paul Éluard et Philippe Soupault. Avec Breton et Éluard, entre autres membres du groupe surréaliste, il adhère au Parti communiste français. Il ne devient critique à l’égard de l’URSS qu’après la mort de Staline et suite aux révélations par Khrouchtchev des crimes du stalinisme. Sa poésie est largement inspirée, depuis les années 1940, par l’amour qu’il voue à son épouse, Elsa Triolet, écrivain elle aussi, et belle-sÅ“ur de Vladimir Maïakovski.
Son Å“uvre porte en filigrane la secrète blessure de n’avoir pas été reconnu par son père, Louis Andrieux, de 33 ans plus âgé que sa mère, Marguerite Toucas. Celle-ci, afin de préserver l’honneur de sa famille et de son amant, le fait passer pour le fils adoptif de sa mère et Andrieux, pour son parrain. Il évoque ce qui fut le drame secret de sa vie dans un petit recueil de poèmes intitulé Domaine Privé. Il est aussi, avec Robert Desnos, Paul Éluard, Jean Prévost, Jean-Pierre Rosnay et quelques autres, parmi les poètes qui prirent résolument parti, durant la Seconde Guerre mondiale, pour la résistance contre le nazisme. C’est là le sujet d’une autre blessure profonde : la rupture avec son ami Pierre Drieu La Rochelle qui, après avoir « hésité entre communisme et fascisme » (voir « Une femme à sa fenêtre »), s’est tourné vers le nazisme. Sorte de suicide, qui le poussera à se donner vraiment la mort à la Libération. Il existe aussi des « Å“uvres croisées » entre ces deux génies : « Gilles » et « Aurélien ».
Après le décès de son épouse en 1970, Aragon affiche ses préférences homosexuelles, que Drieu La Rochelle avait évoquées dès les années 1930, dans « Gilles » notamment. Roger Nimier disait d’ailleurs, à son propos : « C’est le seul homme capable d’assister à une réunion du Comité Central du PCF en smoking rose ». Il meurt le 24 décembre 1982, veillé par son ami Jean Ristat. Il est inhumé dans le parc du Moulin de Villeneuve, dans sa propriété de Saint-Arnoult-en-Yvelines, aux côtés de sa compagne Elsa Triolet.
Ses oeuvres
- Fainéantise voilà que je te hais!
- J’ai cette nuit goûté les plus douces douceurs
- Où vas-tu ma belle ?
- (3) Poèmes miroirs
- (Pour toi, Jane) In out
- … Défigurée
- … Déverrouillée
- … Engagée
- 00 h 00
- 03.02
- 04.02
- 1-02
- 11 septembres
- 14
- 14 février
- 15ème reprise
- 175 pas
- 18.4.2012
- 180
- 1915
- 1920
- 2.02
- 200
- 21
- 21 mars 2016
- 23
- 23h04m32s et des poussières ? On s’en fout !
- 25
- 25 ans
- 35 mm
- 40 ans
- 7 mai
- 78
- 8 mars, journée de la femme
- 89
- À Alfred de Musset
- À Alfred Tattet
- À Aurore
- A Brel
- A Camille Pissarro
- A Céline
- A celle dont la vie était planifiée
- A celles et ceux qui l’ont déjà bu
- A celles et ceux qui l’ont déjà éprouvée
- A celui qui pleure
- A Ces moments durs
- A cette heure où le désir s’éteint!
- À cette page étrangère
- A ceux qui comptent
- À chère Anne !
- A Clement Marot
- A Cochonfucius
- A Cochonfucius (2)
- A coeur ouvert
- A contre sens
- A contresens…
- A coté de toi… j’oubliais !
- A croire, elle
- À deux ans
- À elle
- A Etienne de la Boétie
- A fleur de pleurs
- A fleur de sable
- A fleur de toi
- A force de…
- A jamais…
- A l’Afrique
- A l’ambitieux et avare ennemi des bonnes lettres
- A l’angle de la vue
- A l’applique
- A l’arrêt
- A l’aune du chaos
- A l’enseigne
- A l’envers – A l’endroit
- A l’épingle de la rue
- À l’épreuve du feu
- A l’intérieur
- A l’ombre de mon cÅ“ur
- A l’ombre des myrtes verts
- A l’orée d’un saule
- A LA
- À la Bastille
- À la Bastille!
- A la bouche
- À la Cour des miracles
- A la croisée des chemins
- A la fenêtre du ballon
- A la foire
- A la levée du jour
- A la main qui se pose
- A la Marquise
- A la merci des vents, des flots, et de l’orage
- À la morphine
- A la mort
- A la potence !
- A la source des mots
- A Léo
- À l’Amour : les compliments
- A ma douleur
- À ma femme
- A ma fille
- A ma fille
- A ma fille
- A ma grand mère
- A ma mère
- À ma mère
- A ma petite Loulou
- A ma solitude
- A Madame Marguerite, d’écrire en sa langue
- A Madame Radigue
- A Mademoiselle du Lude
- A mati a noué (à tous les gouverneurs de la rosée)
- A mes amis
- À mes enfants
- A mes pauvres frères
- A mille mètres de chez moi
- À mon ami ***
- A mon avis
- À mon papa Fritz (Sonnet)
- A mon père
- A mon père
- A mon père
- A Monsieur du Pin
- A Monsieur le Duc de Sully
- A Mylène
- A nos ambitions
- A nos fenêtres
- A nos souvenirs
- A notre cause
- A Pierre de Ronsard
- A présent que je sais
- A Propos (Sommes)
- A qui penser tout bas
- A quoi
- A quoi ça sert le chagrin ?
- A quoi jouez-vous à présent ?
- A rebours…
- A Rimbaud
- À rouge-lettres
- A Saint-Amand
- À son marbre
- À te vouloir dressée
- À toi ma femme
- A toi mon Dieu
- A toi mon Gérard
- A toi, lecteur en recherche
- A toi, mon cœur.
- À un aigle (d’après « L’Aigle » de Charles Gill)
- A un jeune lecteur
- A une Dame
- À une Demoiselle qui avait les manches
- A une fauvette
- A une femme mal aimée
- A une persanne
- A une prostituée
- À une statue
- A Vénus
- A Victor
- A vos souhaits
- A vous
- A vous Athos
- A vous la fierté, à nous les pleurs
- A vous, loin là -bas
- Abandon
- Abandonnés
- Abattements ou squat II
- Abimes
- Abolition
- Abreuve nos sillons
- Abreuve nos sillons
- AbSaBas
- Absence
- Absence
- Absence
- Absence
- Absence
- Abstractions
- Acajou
- Acajou et bois blanc
- Accord
- Accorde-moi cette danse
- Accostage
- Accro
- Acculturation ou Désespérance III
- Acétylène
- Acrostiche
- Acrostiches
- Acte
- Actéon
- Actiniaire
- Adieu à ma Jeunesse
- Adieu chère liberté
- Adieu colère
- Adieu ma mie
- Adieu ma mie
- Adieu ma mie
- Adieu maman
- Adieu mon prince
- Adieu muses et poésie
- Admira et Bosko
- Adolescence
- Adrastée
- Adstrat
- Aéro – Bic
- Aéro postale
- Affaire Praslin
- Affimation
- Afrique #1
- Afrique #2
- Agapes
- Agitations
- Agneau de ma pauvre terre
- Agrément
- Agrément
- Agrumes
- Ah ! ne me baisez plus, ah ! mon coeur, je me meurs
- Ah ! que je suis fâché ! maudit soit le réveil
- Ah bien, je vous vois
- Ah! Aimer follement aimer
- Ah! ce vent du large puissant qui me fait revivre
- Ah! Diable que faire? Que faire?
- Ah!….Madame !
- Aide providentielle
- Aigle gris
- Aigle noir
- Aigle noir – II
- Aigrette de vie
- Ailleurs
- Aimée
- Aimer
- Aimer ?
- Aimer encore
- Aimez ou n’aimez pas, changez, soyez fidèle…
- Ainsi
- Ainsi sont les hommes
- Ainsi va le monde
- Ainsi, évidé de ma force…
- Air d’une colombe
- Airport
- Aiyanna – fleur éternelle
- AL ALBA
- Al dente
- Albatros
- Alcool
- Alerte au C.U.L.
- Alerte culotté(e)
- Alerte sanitaire
- Alice’s in wonderland
- Alignez-vous
- Aller simple
- Allergie
- Allez joue !…
- Allez, Monsieur
- Alligators and co
- Alouettes
- Altitude
- Amante
- Amants de ma terre
- Amants de ma terre
- Amarante
- Ambiguïté
- Ambition utopique
- Amblyopie
- Ambtions
- Âme damnée
- Âme en vrac










